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Associations - Adresses utiles

 ARPE
(Aide à la relation parents-enfants)
63, Rue Mondenard
33000 Bordeaux
 05 56 94 34 34
Pour  les mineurs et majeurs. 
Centre Jean-Abadie
(Unité médico-psychologique de l'adolescent)
Groupe Hospitalier Saint André
89 rue de la Sab lières
33000 Bordeaux
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Fondation de France :   
Le décrochage scolaire.

Orientation en ligne : Tchat, mail, téléphone.

Archives Des Articles

Calendrier de l'orientation active

 

Calendrier des inscriptions dans l’enseignement supérieur
Premier trimestre

L'entretien personnalisé d’orientation prépare le conseil de classe qui donne un avis sur les intentions d’inscriptions post-bac. La famille participe à cet entretien.
Le conseil de classe dédié à l’orientation donne avis et conseils sur le choix post-bac de l'élève. La famille y est associée. Une fiche de dialogue est prévue.
Ils se tiennent avant la phase de préinscription pour jouer pleinement leur rôle de conseil.

S’informer sur les formations et les établissements de l’enseignement supérieur sur le site www.admission-postbac.fr. dès son ouverture (décembre).

Deuxième trimestre

20 janvier : début des inscriptions et liste de vœux sur  www.admission-postbac.fr

20 mars : fin des inscriptions

L'orientation active permet de rentrer en contact avec l’université pour bénéficier d’un conseil personnalisé.
Les journées portes ouvertes sont l'occasion de faire connaissance avec les établissements d’enseignement supérieur.

Troisième trimestre

Jusqu’au 31 mai : possibilité de modifier son classement hiérarchisé de vœux
À partir du 7 juin : phases d’admission

Écoles spécialisées, grandes écoles : des inscriptions spécifiques
Les écoles spécialisées

Les inscriptions dans certaines écoles se font à des dates variables et peuvent démarrer dès octobre.

  • certaines écoles d’architecture
  • les écoles des beaux-arts
  • les écoles paramédicales
  • les écoles sociales
  • les écoles privées des domaines suivants : arts appliqués ; bâtiment ; commerce-distribution ; gestion-comptabilité ; hôtellerie-tourisme ; notariat ; secrétariat ; secrétariat médico-social ; transport-logistique.

      Les grandes écoles

Certaines écoles d'ingénieurs, de commerce et les I.E.P. ne sont pas intégrés dans la procédure d'inscription au portail admission post-bac. 

37 écoles d’ingénieurs : www.grandesecoles-postbac.fr

Les écoles de commerce avec concours communs telles que : 
www.concours-acces.com
www.concours-sesame.net
www.concours-pass.com
www.concours-team.net

Les instituts d’études politiques
admissions.sciences-po.fr

Autres formations
  • les mentions complémentaires (M.C.)
  • les formations complémentaires d’initiative locale (F.C.I.L.)

Informations mises à jour Janvier 2012.

14 août 2020 5 14 /08 /août /2020 15:04
"En somme, notre génération « fragile » faite de « victimes » en puissance adore se trouver des « victimes » à accabler en les traitant de « fragiles »"muel Piquet
Simples questions vécues comme des offenses, critiques ressenties comme du harcèlement, injonctions à l'empathie et au respect de la diversité : les jeunes générations semblent plus sensibles que les précédentes aux questions qui touchent à l'identité et à l'individu. Qu'est-ce qui se cache derrière cette apparente fragilité ?

« Il y a une fille dans ma classe, depuis deux ans, chaque fois qu'on l'interroge, elle pleure. Dans les matières où il y a des notes d'oral, elle a systématiquement zéro, explique Sacha*, élève de quatrième en région parisienne. Elle a l'impression que tout le monde la regarde, elle reste bloquée même pour des petits trucs. Nous, on fait exprès de ne pas la regarder pour ne pas l'intimider, mais il n'y a rien à faire . »

Que des gamins perdent leurs moyens à l'heure de l'interro, ce n'est pas nouveau. Mais cette gêne était auparavant expliquée par le manque d'assurance de l'intéressé, sa timidité, autrement dit, elle était considérée comme une difficulté liée à sa propre personnalité ; désormais, elle est très souvent vécue comme le résultat d'une agression extérieure, elle est considérée comme un problème venant non pas de soi mais de l'autre. En l'occurrence, le professeur. « J'ai fini par cesser de solliciter une élève qui s'offusquait parce que je l'interrogeais à l'oral, elle avait l'impression que j'étais tout le temps sur son dos et avait vraiment l'air de le vivre mal », explique Anne-Laure*, enseignante dans un lycée du Val-d'Oise, confrontée comme tant d'autres de ses collègues à cette génération que l'on pourrait qualifier - pour reprendre les mots que l'on s'échange aujourd'hui dans les cours d'école - de « fragile ».

Beaucoup de professeurs confirment cette tendance de certains élèves à se poser en victimes dès lors que l'enseignant les sollicite, c'est-à-dire dès qu'il fait simplement son travail. Un phénomène accentué par l'attitude de certains parents. « Un père d'élève a fait un scandale pour qu'on retire deux heures de retenue à sa fille parce qu'il jugeait que ce n'était pas mérité. Quand je dis scandale, ce sont des courriers répétés au chef d'établissement et au rectorat », relate Anne-Laure. Sacha, lui, se souvient d'un épisode particulièrement troublant : « Ma prof d'arts plastiques autorise les téléphones en cours pour chercher des modèles de dessin. Une fille s'en servait pour faire autre chose, elle lui a donc confisqué. Dans ce cas-là, il est transmis au principal et les parents doivent venir le récupérer dans le bureau. Sauf que le lendemain, la mère de l'élève est entrée sans frapper en plein milieu du cours de la prof et lui a hurlé dessus en disant que sa fille en avait besoin pour se réveiller et pour la joindre. Cette prof, la pauvre, elle est hyper gentille et hyper tolérante ! »

“AUX AUTRES DE FAIRE ATTENTION À MOI”

Dans cette nouvelle version de « l'enfer, c'est les autres », le problème n'est pas tant la façon dont on considère les tiers, mais le fait qu'ils ne nous considéreraient jamais suffisamment. Bertrand Vergely, philosophe et professeur d'université, raconte que, lors d'une discussion avec une de ses élèves, celle-ci lui a expliqué ainsi sa vision des choses : « Ça n'est pas à moi de faire attention aux autres, c'est aux autres de faire attention à moi. » Moi et mes faiblesses. Mais d'où vient-elle, cette incroyable fragilité ? Pour Bertrand Vergely, elle proviendrait avant tout de fondations qui ne seraient pas suffisamment solides : « Cette génération a besoin de s'appuyer sur des fondamentaux, mais les fondamentaux n'ont pas été respectés. Les bases sur lesquelles ils s'appuient ne sont pas claires et ça génère de la peur. » Maîtrise de la langue, repères historiques, savoirs philosophiques, à écouter l'essayiste beaucoup de choses leur feraient défaut. « Quand tout à coup ils doivent s'exprimer ou rédiger un texte, on sent que ça ne va pas. Il leur manque aussi une vision de l'histoire, une certaine idée de la chronologie. Ils ont besoin de savoir qu'ils font partie d'une histoire commune, d'une aventure collective. Et, en philosophie, on doit leur rappeler des généralités, la définition des mots, des concepts qui permettent de réfléchir. Il faut revoir avec eux un certain nombre de choses très simples pour qu'ils aient les idées claires. Si vous êtes au clair, vous pouvez traverser ce monde. » Dans son essai Génération offensée, livre qui explore à sa manière cette jeunesse « fragile », notre chroniqueuse Caroline Fourest fustige la place qui est faite à la culture aux États-Unis : « Au pays du procès en “appropriation culturelle”, écrit-elle, la culture générale est celle que l'on s'approprie le moins. » Il semble donc que la France se soit elle aussi engagée dans cette voie.

Les fondamentaux n'ont pas été respectés. Les bases sur lesquelles cette génération s'appuient ne sont pas claires et ça génère de la peur.” Bertrand Vergely, philosophe

Une universitaire le confirme : « La tendance consiste progressivement à remplacer les savoirs par des concepts militants - le glissement peut être infime, mais il est insidieux. L'appétence pour les approches “déconstructionnistes” fragilise le rapport professeur-étudiant, ainsi que l'étudiant lui-même, car elle le confronte à une injonction paradoxale : déconstruire les savoirs qu'on lui demande et “en même temps” les acquérir. Le “déconstructionnisme” échevelé accentue la défiance à l'égard du cadre pédagogique, défiance qui est fallacieusement présentée comme de l'“esprit critique”. Cette mode intellectuelle se prétend soucieuse des plus faibles mais elle ne fait qu'enfoncer les étudiants les plus fragiles. »

Car le problème est qu'on retrouve ensuite ces mêmes biais dans les exposés des élèves, comme le relate cette même universitaire : « Mon travail ressemble de plus en plus à celui de Pénélope reprenant chaque jour son ouvrage : les étudiants sont confrontés à des œuvres contenant des messages progressistes très simplistes, diffusées dans des lieux à fort potentiel légitimant. Il est difficile d'expliquer que telle adaptation présentée comme “féministe” de Shakespeare et jouée dans un théâtre national pose des problèmes éthiques considérables en rendant “cool” la torture du personnage masculin, rendu tributaire de toutes les tares. »

NARCISSISME EXACERBÉ

Pour le psychiatre et psychanalyste Serge Hefez, c'est également le manque de cadre qui pousse les jeunes générations à un narcissisme exacerbé : « Il y a dans leur construction psychique quelque chose qui les ramène sans cesse à eux-mêmes, car la structure externe est de plus en plus défaillante. Les générations précédentes étaient beaucoup plus portées par tout un tas de contraintes et d'obligations. L'enveloppe externe, ils n'avaient pas à la définir par eux-mêmes, il y avait à se construire par rapport à tout un ensemble de codes et de valeurs qui leur étaient transmis. Ce qui relevait de leur univers intérieur importait peu. Aujourd'hui, les injonctions ne sont plus “tu dois faire ceci ou cela !” mais “sois heureux !” » Et ce commandement est d'autant plus étouffant, explique Hefez, que « tout ce qui va faire la popularité de l'enfant relève de lui et de sa responsabilité : “Je n'arrive pas à avoir de copains, je ne suis pas populaire, je ne suis pas invité à telle soirée.” La pression pour réussir est guidée par une vision très individualiste. »

Ce n'est pas pour rien que l'historien du droit et psychanalyste Pierre Legendre disait : « Ce qu'une génération doit à une autre, c'est la limite. » Les limites n'étant plus les mêmes, il y aurait donc des malaises nouveaux et des pathologies nouvelles, selon Hefez : « L'angoisse des parents s'est un peu déplacée de la question des performances vers celle de l'épanouissement. L'enfant se ressent davantage responsable de son devenir au sens large, mais aussi de celui de ses parents qui l'ont désiré et qu'il a pour mission de rendre heureux. On est passé d'un surmoi féroce qui créait de la culpabilité à une obligation à l'épanouissement qui conduit davantage à la honte. »

AGRESSION INSUPPORTABLE

Dès lors, tout événement qui contribuerait à mettre en lumière ce mal-être serait vécu comme une agression insupportable. Capucine, étudiante en art et design, se souvient que, au lycée, une personne de sa classe « se positionnait constamment en tant que victime, sans jamais se remettre en question. C'est un état confortable : on n'a rien fait de mal, c'est toujours les autres qui font le mal ». Iannis Roder, professeur d'histoire-géographie dans la Seine-Saint-Denis abonde : « Une partie des gamins sont incapables d'accepter d'être en tort ou qu'on leur refuse quelque chose. Il y a chez eux une incapacité à tolérer la frustration. Ils sont dans la toute-puissance, n'ont pas de limites. La seule chose sur laquelle ils sont concentrés, c'est de désigner celui ou celle qui leur a porté atteinte. Cela peut devenir un vrai problème de société. »

Les réseaux sociaux sont un parfait observatoire des mutations de notre société. Il y règne une ambiance hystérique et franchement paranoïaque, certains se sentant offensés à la moindre remarque. « Nous vivons dans un monde furieusement paradoxal, où la liberté de haïr n'a jamais été si débridée sur les réseaux sociaux, mais où celle de parler et de penser n'a jamais été si surveillée dans la vie réelle », écrit Caroline Fourest. Mais cette véhémence ne serait qu'un miroir déformant, si l'on en croit Serge Hefez. Beaucoup sont en réalité en colère contre eux-mêmes, l'automutilation a énormément augmenté et cette agressivité est l'expression d'un trop-plein, d'une incapacité à gérer ses émotions. En réalité, c'est parce qu'ils s'accableraient déjà sans arrêt de leurs échecs, parce qu'ils n'auraient aucun moyen de construire une véritable estime de soi qu'ils vivraient si mal les attaques extérieures.

Or non seulement la société, par son manque de cadre, favoriserait ce type de fragilité, mais elle l'encouragerait également. Dans son essai, Caroline Fourest explique : « Une part non négligeable de l'hystérie collective actuelle tient […] au fait qu'on leur a appris à se plaindre pour exister. Les sociétés de l'honneur flattaient l'héroïsme, au prix d'un virilisme guerrier. Les sociétés contemporaines ont placé le statut de victime tout en haut du podium. »

“La liberté de haïr n'a jamais été si débridée sur les réseaux sociaux, mais celle de parler et de penser n'a jamais été si surveillée dans la vie réelle.” Caroline Fourest

Revenons un instant à notre cour d'école du début de cet article pour saisir un paradoxe qui entoure désormais le mot de « victime ». Il est 10 h 30, c'est l'heure de la récréation, Sylvain* entend distraitement une rumeur dans la cour mais n'y prête pas tout de suite attention. Soudain, elle s'intensifie. L'enseignant s'avance vers la fenêtre et voit une trentaine d'élèves en train de lyncher un adolescent à terre : coups de pied dans le dos, gifles, étranglement, tout y passe. Il assiste impuissant à la scène. Encore un « martyr » du « petit pont massacreur », ce jeu qui consiste à faire du foot avec tout ce qu'on a sous la main - le plus souvent une canette de soda vide - et de faire passer la balle entre les jambes d'un adversaire avant de se ruer en nombre sur lui. Le jeu est interdit dans l'établissement mais régulièrement pratiqué lorsque les élèves constatent qu'il n'y a pas de surveillants aux alentours. L'ado au sol est un « intello » à lunettes de troisième, alors tout le monde a participé à la « fête ». Il se relève, un peu groggy, le regard hagard, moins choqué d'avoir été frappé que d'avoir constaté qu'on se défoulait sans peur des représailles parce qu'il est, on le lui a suffisamment répété, un « bouffon » , une « victime » . Dans ce collège de Seine-Saint-Denis, pas de pitié pour ceux qui ne savent pas se faire respecter. Mais l'utilisation péjorative de ce terme n'est pas propre au 93, loin de là, comme nous l'explique Evan*, élève de CM2 dans une petite école communale : « “Victime”, ça veut dire que tu ne sais pas te battre. Ou alors, c'est pour insulter le gars qui t'énerve. »

VICTIME : UN STATUT FLUCTUANT

Le mot de « victime », Jean* l'a entendu à plusieurs reprises dans la bouche de ses harceleurs en sixième. Sa faute ? Porter des baskets Quechua (la marque de Decathlon) quand tout le monde s'affichait en Nike. « Beaucoup ont commencé à se moquer de moi, j'ai eu ensuite pas mal de remarques sur mon poids, je n'avais pas beaucoup d'amis et je ne cherchais pas à être populaire, donc tout le monde s'y est mis. » Pour s'intégrer, il se met alors à faire le pitre en classe : « Vu que j'étais pas aimé pour ce que je représentais, je faisais rire tout le monde. Pour éviter les moqueries, j'ai dû faire le clown. » Jusqu'à ce qu'il ait droit à un conseil de discipline et soit exclu définitivement de son collège. « Ils ont gardé les harceleurs et viré le harcelé », confie-t-il, encore affecté.

Curieux terme que celui de « victime », qui peut désigner de façon méliorative celui qui revendique très fort son appartenance au camp des opprimés, et de façon péjorative celui qui s'est fait lyncher par des dizaines d'élèves. Le statut légitime de victime ne dépend pas de la gravité de ce qu'on subit mais de l'appartenance ou non à un groupe officiellement reconnu comme opprimé. « L'identité serait dans les viscères », déplore l'essayiste Fatiha Agag-Boudjahlat dans le Grand Détournement, rappelant que l'identité véritable « ne se reçoit pas par le sang, elle ne s'impose pas par la contrainte, elle n'est ni communautaire ni collective, encore moins religieuse ». Caroline Fourest, dans Génération offensée, ajoute : « Sur l'échelle de Richter des épidermes douillets, les drames semblent tous avoir la même gravité, qu'il s'agisse d'un génocide ou d'une coupe de cheveux. » Il semble y avoir néanmoins une fragilité autorisée, honorable, et une autre, honteuse, indigne de compassion. En somme, notre génération « fragile » faite de « victimes » en puissance adore se trouver des « victimes » à accabler en les traitant de « fragiles ». Peut-on bâtir une société sur un tel paradoxe ? Sortez vos cahiers, vos stylos, vous avez trois heures pour répondre. Mais ne vous inquiétez surtout pas, il ne s'agit d'offenser personne : nous sommes en 2020, tout le monde aura la moyenne.

* Le prénom a été changé.

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Bibiographie

 

 

  •  La carte scolaire - Agnes Van Zanten - Jean-Pierre Obin - Que sais-je - PUf :
    C'est au nom d'une certaine idée de l'état que la carte scolaire a été crée en 1963. Mais c'est en vertu d'une autre orientation que dès les années 80 les libéraux dénonçant l'hypocrisie d'un système qui favorisaient derechef  les initiés et les nantis, critiquent cette sectorisation. En supprimant cette carte d'ici 2010 Le président Nicolas Sarkozy déclare vouloir concilier objectif gaullien, la mixité sociale et la méthode libérale, le libre choix des familles. Ces deux dimensions sont elles compatibles et si oui, à quelles conditions ? Cet ouvrage précise les déterminants , la mise en oeuvre et les enjeux de la carte scolaire. Il propose la première synthése des recherches et des comparaisons internationales, et dresse le  bilan de la dernière initiative ministérielle d'assouplissement.
      
  • L'Ecole en question - Brigitte Perucca Chez Odille Jacob - La doc de Fr 2008 - 11.90 euros - Rédactrice du Monde de l'Education : L'auteur fait le tour de l'Ecole sous forme de 129 questions regroupées par thémes. (Institution, les acteurs, les contenus, la méthode, l'Egalité, l'enseignement professionnel, l'environnement scolaire). Cet ouvrage a le mérite de faire une radiographie compléte  de l'école en nous rappelant les faits, les statistiques sans prendre position, un outil utile dès que l'on  se pose une question.
  • "Pedagogie" - Le devoir de resister - de Philippe Meirieu - ESF Editeur - 2007
  • "L'orientation un avenir de chacun - Accompagner son enfant dans ses choix  - de Monique Ronzeau - Edition Maison de famille.
  • Devenir le  meilleur de soi même aux Editions Eyrolles : Premier psychologue a avoir voulu comprendre la fonctionnement des gens épanouis, plutôt que celui des névrosés, A Maslow - New Yorkais né en 1908 de parents russes Juifs a laissé derrière lui une influence majeure et un ouvrage essentiel.  Motivation and Personnality (1954).Il aura fallu attendre plus d'un demi siècle pour que cette bible de la psychologie humaniste soit traduite en Français. C'est l'occasion de comprendre des notions essentielles comme "Devenir soi" -"Developper son potentiel" mais aussi la fameuse "pyramide des besoins".
  • Chagrin d'Ecole de Daniel Pennac chez Gallimart - Prix Renaudot : Daniel Pennacchini était un cancre, un vrai ! jusqu'a ce qu'il rencontre des profs assez remarquables  pour lui donner confiance en lui. Quarante ans plus tard, le récit de ce parcours scolaire qui lui a valu le prix Renaudot.
  • Si les bébés pouvaient parler de Myriam Szejer chez Bayard :Ce livre est un cri d'alarme pour le respect de l'enfant face au discours de plus en plus répressif et normatif. Accueillir, accompagner, écouter les bébés et leurs mères n'est pas une affaire de compassion, mais de prévention.Les pathologies qui exploisent à l'adolescence sont la façon dont ces jeunes ou ces adultes ont été accueillis au départ de leur vie.
  • Réussir à l'Ecole une question d'amour - Stéphane Clergé - Pédopsychiatre :  "Ah,si c'était si simple ! se dit-on en lisant le titre du dernier ouvrage de Stéphane Clerget.  Pourtant le parent finit par se laisser convaincre par la démonstrtion du pédopsychiatre qui puise sa conviction dans ses années d'accompagnement d'élèves en difficulté aux parents désemparés. Selon lui, plus que l'intelligence, le QI, ou les longues heures de bachotage, c'est l'amour qui fournira à l'enfant l'élant psychologique nécessaire pour le pousser vers la réussite scolaire. Un amour dont les pourvoyeurs sont les parents bien sûr, mais aussi les professeurs et tout l'entourage des enfants , à même de leur donner l'amour de la vie. Les parents apprécieront les explications claires sur les professeurs et tout l'entourage des enfants, à même de leur donner l'amour de la vie. Les parents apprécieront les explications claires sur les mécanismes de la réussite scolaire ou les obstacles à surmonter comme les troubles dys par exemple. Ils trouveront de nombreux conseils pratiques pour accompagner leurs enfants pendant toute leur scolarité.

 

   

 

 

     

 

Les Rdv de l'orientation

 
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